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Girls just want to have fun + Birdie, Sloan, Eden
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Girls just want to have fun + Birdie, Sloan, Eden EmptyVen 23 Jan - 10:31



GIRLSWANT TOHAVE FUN
Thalia, Sloan, Eden & Birdie

Janvier

Il fallait l’avouer, depuis que Birdie avait promis à Billie de s’occuper de sa nièce, les fêtes se faisaient de plus en plus rare. Elle maudissait sa condition de mère de substitution lorsqu’elle devait rentrer comme cendrillon pour payer la babysitter… Elle se maudissait encore plus lorsqu’elle n’avait pas de babysitter et qu’elle devait rester un samedi soir à la maison à garder River. Elle se maudissait souvent, essayant vainement de penser que c’était pour le mieux, qu’elle pouvait penser à se ranger un petit peut et qu’un peu de sagesse ne lui ferait probablement pas de mal. Mais voilà, ce n’était pas son genre. Elle avait beau faire des efforts absolument colossaux pour se tenir à carreau, ça devenait presque comme des plaques d’eczéma. Elle n’était pas Billie, et elle ne serait jamais comme elle. Alors lorsqu’elle avait trouvé une babysitter qui acceptait de passer la nuit à l’appartement, de dormir, et de garder River toute la nuit et un bout de la journée qui suivrait. Tout ça pour une modique somme de… De un peu cher ouai… Mais bon si c’était ça que coûtait une nuit de liberté comme dans l’ancien temps. Et bah roule ma poule.

Birdie était surexcité. Elle ne tenait clairement plus en place, et elle avait même du embrasser sur la bouche la babysitter lorsqu’elle l’avait vu arriver. Elle avait probablement été surprise. Mais well. Elle allait s’en remettre, elle avait plus d’une journée pour ça. Elle avait filé à toute blinde pour aller se préparer chez Thalia. Lorsque son amie lui avait ouvert la porte elle lui avait sauté dans les bras. Bon en soit, cela ne faisait pas si longtemps que ça qu’elle s’était vue. Elle s’était au moins croisée la vieille dans l’un de leur magasin de vinyle préféré. Et puis elles avaient tendance à se croiser souvent sur les heures de jours. Mais ce n’était jamais la même chose. On ne pouvait pas comparer la nuit au jour. C’était stupide. Birdie ne mettait pas franchement longtemps à se préparer. Elle avait toujours un look assez fraie et disponible. Elle se maquillait discrètement, seulement de manière à éclairer son visage et son regard, à mettre légèrement en valeur sa bouche. Elle s’habillait généralement de manière assez soft et profitait juste de savoir marcher sur des talons d’une hauteur affolante sans se tordre la cheville et sans pleurer le lendemain matin. Des années d’entrainement et de souffrance sans aucun doute. Elle avait un corps qui lui permettait d’enfiler à peu près n’importe quoi, et permettait d’emprunter des fringues à n’importe qui. Là elle avait d’ailleurs piquer une robe moulante de Thalia. C’était simple, mais ça la mettait parfaitement en valeur. Mais Thalia n’avait clairement rien à lui envier. Enfin elle s’était préparée assez rapidement, musique à fond sur le lecteur de vinyle. Les vinyles qu’elles avaient acheté la veille. Elle avait finit par envoyer discrètement un sms à Sloan.

« Sloan ! La limo est près, fait chauffer le moteur ! »

Oui, lorsque Birdie sortait elle avait un plan. Et ce soir le plan était parfait. Généralement ces plans avait comme règle principale, on ne paye rien. Oui, pour ça, elle jouait principalement sur le faite qu’elles étaient des femmes, et pas des plus moches… Elles qui avaient l’habitude d’être des féministes convaincues et presque acharnées, avait tendance à utiliser le cerveau ralentis des machistes pour se payer leur soirée de débauche. Elle ne doutait ainsi pas que Sloan est pu trouver une limousine gratuitement. Quelques oeillades et promesse plus ou moins en l’air - ça ça dépendait de la gueule du propriétaire - et le tour était probablement jouer. Sloan n’avait pas son pareille pour faire craquer les hommes de toute façon. Peut importe la manière employer. Elle était digne du club. Lorsque Sloan arriva avec la limousine, Birdie éclata de dire, elle était hideuse et kitch au possible. Elle n’aurait pas pu espérer quelques choses de plus immonde et de plus parfait. Elles avaient aussi un chauffeur… Well done girl ! Elle avait embrassé Sloan à la commissure des lèvres histoire de lui dire bonjour, et s’était tourné vers le chauffeur, elle lui avait claqué une bise sur la joue, le gratifiant d’une bonne marque de rouge à lèvres. « On vous a dit que c’était un enterrement de vie de jeune fille ? » Il hocha la tête, et elle sourit ! « Alors on peu aller chercher la mariée ! » Elle souffla l’adresse au chauffeur et s’assit avec ses copines derrière. Non vraiment, l’enterrement de vie de jeune fille était la parfaite excuse pour faire tout ce qui leur passait par la tête et surtout pour se faire payer plein plein de chose. Lorsqu’elles arrivèrent enfin chez Eden, Birdie sortie la première, excitée comme une puce. Elle sonna plusieurs fois chez Eden avant de la voir sortir, habillée de son très casual - et qui lui allait parfaitement - look punk rock. « VIVE LA MARIEE » cria-t-elle, suivie de ses deux amies, sous le regard probablement médusée d’Eden qui n’avait absolument pas était mis dans la combine. Déjà qu’un enterrement de vie de jeune fille pouvait être embrassant, mais quand en plus ça ne l’était pas du tout. En quelques secondes Birdie enfila sur Eden, ruinant littéralement son look - un diadème plastique kitchissime, un hochet de roi ridicule, et petite discrétion, un faux diamant, marque de ses fausses fiançailles. « En voiture simone ! » Birdie fit s’activer tout le monde, et une fois sortie dans la voiture, elle sortie une bouteille de champagne « Offerte par le gérant du supermarché ! » Elle sortie des coupes qu’elle remplie ! « Au mariage de la plus sublime des fausses mariées ! » Elle leva son verre, trinqua et siffla en deuxième toast «  Et à l’initiation de la plus jeune des recrues ! » Oui parce qu’en réalité c’était surtout ça. Depuis qu’elles avaient rencontrer Eden, elles n’avaient pas vraiment eu le temps de faire des soirées réellement barrées. Ca c’était surtout tournée autour de la musique, de quelques soirées sympathique mais sans aucun débordement. Bref de soirée digne de la nouvelle Birdie parfaitement sage. Mais ce soir Birdie n’avait pas envie d’être sage. « Alors, pour la première étape ? » demanda-t-elle d’un air entendu à ses deux amies. Elle se tourna tout de même un instant vers Eden. « Au faite, règle du jeu ! Numéro 1: On ne paye rien, sauf en cas d’extrême nécessité, voir le nota bene soixante six de la page six cent soixante six ! » Les règles avaient été écrite il y a quelques années sur un bout de serviette avec Thalia… Honnêtement elles changeaient toujours un peu à chaque soirée, et c’était devenue de l’ordre du mythe, mais c’était toujours bon à redire. « Numéro 2 : Ce qui se passe en soirée, reste en soirée ! T’en fais pas, ton mari ne sera au courant de rien ! » son sourire mutin s’agrandissait ! « Numéro 3 : on se tient les cheveux ! » Ca allait de soit ! « Numéro 4 : Si une se bat, deux vont l’aider, et la troisième s’occupent des flics ! »  Ca commençait à devenir intéressant ! « Numéro 5 : avant que j’oublie, quand t’en peux plus Eden, tu refile le hochet, ça sera comme ton safe word ! » Bah oui, il n’y avait pas d’initiation sans possibilité de se rétracter sur quelque chose. « Numéro 6 : numéro 6 c’était quoi déjà ? » Oui, clairement, les règles tenaient plus du mythe maintenant. Trop d’alcool avait couler dessus pour qu’elle se souvienne de toutes.

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Sloan H. Bernstein
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Sloan, Eden & Birdie

Janvier

J’avais mal à la gueule. J’avais faim. J’avais absolument aucune idée d’où j’étais. J’avais simplement envie de rire, aussi. Fallait dire que le mec à côté de moi avait l’air d’une merde. Une grosse, lamentable erreur, preuve que j’aurais vraiment dû juste repartir avec le chauffeur de taxi, ou même avec le type croisé dans l’ascenseur montant à son appart, comme mon instinct me l’avait dit. Mais à la place, je m’étais laissée impressionner lorsqu’il avait dit qu’il avait acheté une machine Dance Dance Revolution à la foire aux arcades la journée d’avant et que je me mourrais de reprendre Black Betty à Extreme comme je le faisais au temps du pensionnat en Autriche. Alors j’avais enfilé ce qui me restait de gin, reprenant une bouteille pour la route en battant des cils et en agitant mes maigres hanches, et j’avais fini avec une note parfaite et un horrible mal aux reins. Le pauvre, il était aussi laid qu’incompétent, et y’avait donc fallu que je prenne les choses en main – c’est exactement ce que vous pensez – pour m’assurer de ne pas avoir perdu 20 minutes de ma vie. Le reste était devenu encore plus plaisant quand j’avais eu la brillante idée, le mot est faible, d’envoyer une photo de mon spécimen de course au cousin, lui déclarant que le concours de celui qui ramenait la pire merde à la maison gagnait tout le respect de son prochain. Il avait répliqué avec une photo de son cul, moi avec une photo de celui de ma conquête, endormie dans sa bave, et l’échange s’était poursuivi, recevant des photos de bébés, de chèvres, de juifs au temps où ils étaient moins glorieux et autres délicates surprises que nos têtes connes de Bernstein pouvaient trouver marrant avant que je m’endorme dans mon fail, redoutant déjà les rayons de soleil qui caresseraient son visage particulier me confirmant deux fois plutôt qu’une mon goût limité lorsque l’alcool ne l’est pas. Il ronflait au moment où j’ouvris enfin l’œil, lui fichant un coup dans les côtes de toute la douceur dont j’étais capable – c’est-à-dire aucune – avant de me tirer du lit d’un coup sec. Mes bottes furent faciles à trouver, dernier article ayant été retiré rien que parce que passé un stade de beuverie je ne me souvenais plus comment lacer ou délacer mes chaussures, mais tout le reste semblait éparpillé ailleurs que dans la chambre, me confirmant que ce n’était pas aujourd’hui encore où je rendrais ma mère et le p’tit Jésus bien fiers de ma pudeur. « T’as trouvé un t-shirt et un jeans dans ton coin? »  que je demandai, l’innocence et la pureté même, flambant nue et la porte du nid d’amour de l’autre raflure bien ouverte, dévoilant ce qu’il y avait à dévoiler. Le dit coloc, pas si sexu mais un brin plus potable parce que pas en train de ronfler au moment où on se parle s’immobilisa direct, petite nature va, avant d’assimiler ma question. « Je… y’a… » Je roulai des yeux, faisant un pas dans sa direction puis une dizaine d’autres, encore sous le choc de voir comment ce corps qui avait été plus souvent vu que je ne m’en souviens moi-même pouvait en troubler encore certains. « C’est sûr que t’as vu ça. Le t-shirt, il est à paillettes dorées, il s’arrête là. » que je mimai, passant lentement mes doigts le long de mon ventre, m’arrêtant à la hauteur de mon nombril, ne le lâchant pas des yeux. « Et le jeans, y’a un motif à l’arrière, sur la fesse. » Je l’achevai en arquant le dos, claquant mon derrière bien en évidence maintenant, avant de pouffer de mon rire le plus candide possible. Mon regard finit par gagner sur toute la ligne et je repérai une partie de ma tenue sur la table de la cuisine et l’autre dans le pot à fleurs. Trottinant non sans remarquer maintenant que les deux mecs étaient côte à côte, ne sachant pas du tout où se mettre si ce n’était hors de mon chemin le temps que je me rhabillais, chantonnant 99 luftballons pour la peine, avant de leur tirer ma révérence. J’allais pas non plus continuer de jouer les morceaux de viande face à ces deux ados – quasi – qui me semblaient prêts à tout lâcher pour s’enfermer dans leur sous-sol à rire bien gras en s’enfilant du poulet frit et en jouant à World of Warcraft en se rappelant ce doux moment où ils avaient vu une fille en chair et en os. Limite, je venais de faire ma bonne action pour les jours à venir, fallait célébrer.

Dehors par contre, je réalisai qu’il était plus tard que je croyais. Pas que j’y accordais la moindre importance, si ce n’était qu’à cette heure-là c’était quasi assuré que les p’tits-déjs chez McDo étaient terminés mais voilà, ça faisait un deuil à faire quand même. Je pris sur moi, retournant au quartier général Bernstein pour prendre une douche, réalisant que ni Parker ni Jackson étaient là pour assister à ma nouvelle révélation du moment, à savoir que j’étais capable d’entrer 15 guimauves dans ma bouche avant de voir mon souffle coupé par tant de conneries. Puis encore, je tentai de râcler les restes du frigo à la recherche d’un truc potable avant que mon téléphone sonne à l’autre bout de la pièce, me sauvant de cuver ma famine par un pot vert aux allures autant mystiques que cancérigènes. Birdie qui entrait en renfort, qui me rappelait nos plans pour la soirée, ou du moins qui utilisait des mots qui me semblaient familiers pour avoir reçu plus tôt la mission de passer récupérer la limousine, ça me revenait je pense. Un reste de pain et un café plus tard et je file déjà vers d’autres aventures, poussant la porte du bureau de location de l’épaule, déblatérant un truc en allemand incompréhensible au pauvre vendeur du guichet avant de lui prendre les clés des mains sans lui laisser le temps de dire quoique ce soit, pointant mon portable de la main, puis l’extérieur, puis mimant un mec particulièrement en rogne en baissant de plusieurs octaves mes interjections. Il comprend que dalle, je garde sa tête de con bien gravée dans mon esprit pour les 5.4 secondes suivantes, illustrant la victoire de plus que je viens de m’aligner, avant de choisir au hasard un dude dans le parking, lui annonçant qu’il est notre chauffeur pour la soirée. Le reste est vague, ayant découvert que la limousine pour laquelle j’avais subtilisé les clés si agilement recèle de trésors comme un bonzai décoratif nain, une télé intégrée et une statuette solaire de la reine Elizabeth. Ouais, je le sentais bien.

Birdie suivie de près par Thalia virent me rejoindre quelques minutes seulement plus tard, installant bien confortablement leurs fesses sur le tissu léopard de l’abominable mais si merveilleuse limousine qui nous ferait l’honneur de nous mener un peu partout à travers la ville ce soir-là. On ne pu pas échanger grands mots durant le trajet, toutes complètement hilares à la vue de ce qui s’offrait devant nous. Déjà, le soleil se couchait sur L.A., et je pus bien y filer un coup d’œil en sortant la tête par le toit ouvrant du véhicule, une fois que Birdie s’élança pour aller chercher Eden, la gratifiant du costume officiel. « Rawouuuuuuuuuh! » que je miaulai, arrachant un nouvel éclat de rire à Thalia qui s’occupait de chercher dans son sac la playlist CD qu’elle avait concoctée pour la soirée. Les filles finirent par s’avancer vers nous, assez prêt pour que je puisse voir l’air à la fois intrigué et apeuré d’Eden. « T’inquiètes, on va y aller tout en douceur, tu nous connaîs! » ma voix lascive n’eut pas l’air de la rassurer, au contraire, et elle colla aux talons de la Salinger en passant la tête dans la limo, prête déjà à lever le verre. Je m’assis près de Thalia, tendant ma coupe, en prenant déjà une grande gorgée, écoutant Birdie énumérer nos règles désormais sacrées, hochant sérieusement de la tête en confirmant que ça avait vraiment une importance quelconque, même une fois le quatrième pichet de gin & tonic entâmé. Ça, c’était la solidarité. À un moment, la jumelle se stoppa par contre, oubliant probablement la dernière, la règle bonus, la règle de toutes les règles. Dévouée, je pris le relai, l’œil brillant. « Règle numéro 6 : pour chaque mec que t’embrasses, tu dois embrasser une fille aussi. On ne fait pas dans le favoritisme ici. » Je croisai le regard du chauffeur dans le rétro, l’imaginant déjà lécher ses lèvres alors que je répliquai en caressant du bout des doigts le pied de ma coupe, lui envoyant un beau majeur de l’autre main. Il démarra, je le remerciai d’un baiser soufflé, et déjà la soirée commençait très bien.

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